La dernière étape de la rénovation du bassin est la mise en place du nouveau liner. C'est le moment où l'on constate la qualité du chantier. Car si les opérations précédentes ont été bâclées, inutile d’espérer que la nouvelle finition viendra masquer les désordres. Finition qui demande elle-même pour être posée une grande précision et un savoir-faire certain.
PVC armé
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Pour le nouveau bassin, le choix s’est porté sur un PVC armé de couleur sombre, comportant un léger relief façon pierre de lave, idéal pour piéger le développement des futures algues.
Matériau de qualité
L’épaisseur est la première différence entre un liner standard et un PVC armé. Le second est bien plus épais, lourd et rigide que le premier. En conséquence, la poche que constitue un liner est fabriquée en usine et installée d’une seule pièce, alors que le PVC armé est livré en rouleau et soudé sur place.
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Si la totalité des soudures, sans exception, n’est pas parfaite, la pose est un échec.
Assurer l'étanchéité
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Vue en coupe d'une pose de linerPatience et savoir-faire
La technique de soudage est un exercice théorique banal : il suffit de chauffer les lèvres du raccord pour ramollir le plastique et coller les deux bords. En pratique, c’est un métier. Car lorsque le bassin sera rempli, plusieurs dizaines de tonnes d’eau feront pression sur ces joints pour tenter de s’échapper. Alors si la totalité des soudures, sans exception, n’est pas parfaite, la pose est un échec.
L'importance des points singuliers
La deuxième qualité nécessaire au poseur est sa compétence pour traiter tous les points singuliers. Car, comme pour la pose, la théorie est simpliste : il suffit de couper les pièces aux bonnes dimensions puis de souder. Mais seul un bon poseur connaît le sens de recouvrement, la manière de faire un mouchoir étanche dans les angles, de découper le passage des buses de refoulement, etc. Un amateur peut toujours tenter l’aventure, rien n’est impossible. Mais il est fortement recommandé de s’assurer les services d’un professionnel. Nombre de ces poseurs sont indépendants et spécialisés. De vrais mercenaires des bassins, dont tout le monde s’arrache les services !
La pose en vidéo
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La pose en six étapes
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2022 - Pages : 140-141-142 - Poser un nouveau liner
Les profilés d’accrochage de l’étanchéité sont fixés en tête des parois, au ras de l’angle intérieur, par collage et vissage. Ils sont recouverts par les margelles, posées avant ou après l’étanchéité.
Le feutre d’interposition est maintenu en place sur les parois à l’aide d’une colle vinylique en aérosol. Il suffit de pulvériser la colle, de plaquer le feutre, puis de le recouper sans créer de surépaisseur entre deux lés.
Le PVC armé est déroulé du bas vers le haut et accroché dans le profilé. Un second lé est posé en recouvrant le précédent sur 10 cm environ. Le joint est soudé au fer, glissé entre les deux lèvres, puis plaqué à la roulette.
Le bas des parois est placé au-dessus du feutre de sol et au-dessous des lés de fond. Ces derniers sont disposés de manière à réduire les longueurs de joints et selon la disposition des équipements, comme l’escalier ou la banquette.
Au sol, le soudage est identique à celui des parois. Des traitements spécifiques, avec un précollage du PVC sur le béton, sont appliqués sur des points sensibles comme les nez de marche, voire les angles de bassin.
Les finitions comprennent le blocage du PVC dans le profilé Hung® à l’aide d’un bourrelet élastomère et l’installation des brides des accessoires (buses, skimmers, projecteur) après avoir débuté le remplissage du bassin.
Les profilés d’accrochage de l’étanchéité sont fixés en tête des parois, au ras de l’angle intérieur, par collage et vissage. Ils sont recouverts par les margelles, posées avant ou après l’étanchéité.
Le feutre d’interposition est maintenu en place sur les parois à l’aide d’une colle vinylique en aérosol. Il suffit de pulvériser la colle, de plaquer le feutre, puis de le recouper sans créer de surépaisseur entre deux lés.
Le PVC armé est déroulé du bas vers le haut et accroché dans le profilé. Un second lé est posé en recouvrant le précédent sur 10 cm environ. Le joint est soudé au fer, glissé entre les deux lèvres, puis plaqué à la roulette.
Le bas des parois est placé au-dessus du feutre de sol et au-dessous des lés de fond. Ces derniers sont disposés de manière à réduire les longueurs de joints et selon la disposition des équipements, comme l’escalier ou la banquette.
Au sol, le soudage est identique à celui des parois. Des traitements spécifiques, avec un précollage du PVC sur le béton, sont appliqués sur des points sensibles comme les nez de marche, voire les angles de bassin.
Les finitions comprennent le blocage du PVC dans le profilé Hung® à l’aide d’un bourrelet élastomère et l’installation des brides des accessoires (buses, skimmers, projecteur) après avoir débuté le remplissage du bassin.
Les points-clés
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Un modèle classique est fait sur-mesure, livré en une seule pièce comme une poche. Le nôtre est en PVC armé, deux fois plus épais pour usage intensif mais il est plus difficile à poser car il faut souder les membranes sur places.
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