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Les couloirs de nage ont autant la faveur des petits terrains que des grands : ils sont moins chers, plus faciles à entretenir et tout aussi amusants, seuls ou en masse.
La construction en seize étapes
Après repérage de l’implantation sur le terrain, la fouille est creusée à la minipelle. La terre végétale est récupérée et le reste est évacué.
Un remblai en gravier d’une dizaine de centimètres d’épaisseur est étalé. Il n’est pas indispensable, mais permet de régler le fond et d’en faciliter le drainage.
Le fond de fouille est recouvert de sable, réglé et damé, préalablement à la mise en place d’un film d’étanchéité, facultatif.
Le treillis soudé d’armature, de type ST 25 C, est mis en place sur des cales en fond de fouille. Il est lié aux chaînages verticaux des angles et des plus grandes parois.
Le béton est livré en toupie, étalé, vibré et tiré à la règle. L’utilisation d’une aiguille vibrante fait remonter le ciment et facilite le lissage de surface.
Après le durcissement de la dalle, les parois sont montées en blocs béton de 20 cm, renforcées par les chaînages verticaux et un chaînage supérieur en ceinture.
Les réservations pour les équipements sont posées au montage des parois. Elles sont bouchées pour la réalisation de l’enduit fin taloché.
Après la prise, la dalle et l’enduit sont longuement grattés et poncés. Les poussières et gravats sont aspirées. La forme doit être parfaitement lisse et propre.
Côté extérieur, les réseaux hydraulique et électrique sont raccordés aux équipements. Les alentours sont remblayés et le profil d’accrochage de l’étanchéité est posé sur le pourtour du bassin.
Un plan précis est établi pour la découpe du PVC armé nécessaire pour l’habillage du fond et des parois. Les découpes sont réalisées sur une surface propre, à la règle et au cutter.
La pose débute par le doublage des parois en coinçant le lé de PVC dans la rainure du profilé. Le PVC est plus souple lorsqu’il fait chaud.
Pour souder les lés, la panne du pistolet à air chaud est glissée sous le recouvrement dans un mouvement régulier et la soudure est immédiatement écrasée à la roulette.
Chaque particularité du bassin, l’escalier notamment, est traitée par soudure de pièces sur mesure. Le recouvrement est étroit. Il faut un bon savoir-faire.
La pose du PVC armé se termine par la soudure du fond et le montage des équipements comme les skimmers ou les projecteurs. L’étanchéité est alors assurée par un double joint vissé.
Une première mise en eau, entre le tiers et la moitié du volume total, achève de tendre le PVC et permet de vérifier l’absence de plis ou de fuites. Les margelles sont posées.
Le local technique est équipé et raccordé. Le parcours de l’eau est fléché pour le repérage des fonctions et des vannes. La piscine est remplie. La pompe est démarrée pour un cycle de filtration continue.
Après repérage de l’implantation sur le terrain, la fouille est creusée à la minipelle. La terre végétale est récupérée et le reste est évacué.
Un remblai en gravier d’une dizaine de centimètres d’épaisseur est étalé. Il n’est pas indispensable, mais permet de régler le fond et d’en faciliter le drainage.
Le fond de fouille est recouvert de sable, réglé et damé, préalablement à la mise en place d’un film d’étanchéité, facultatif.
Le treillis soudé d’armature, de type ST 25 C, est mis en place sur des cales en fond de fouille. Il est lié aux chaînages verticaux des angles et des plus grandes parois.
Le béton est livré en toupie, étalé, vibré et tiré à la règle. L’utilisation d’une aiguille vibrante fait remonter le ciment et facilite le lissage de surface.
Après le durcissement de la dalle, les parois sont montées en blocs béton de 20 cm, renforcées par les chaînages verticaux et un chaînage supérieur en ceinture.
Les réservations pour les équipements sont posées au montage des parois. Elles sont bouchées pour la réalisation de l’enduit fin taloché.
Après la prise, la dalle et l’enduit sont longuement grattés et poncés. Les poussières et gravats sont aspirées. La forme doit être parfaitement lisse et propre.
Côté extérieur, les réseaux hydraulique et électrique sont raccordés aux équipements. Les alentours sont remblayés et le profil d’accrochage de l’étanchéité est posé sur le pourtour du bassin.
Un plan précis est établi pour la découpe du PVC armé nécessaire pour l’habillage du fond et des parois. Les découpes sont réalisées sur une surface propre, à la règle et au cutter.
La pose débute par le doublage des parois en coinçant le lé de PVC dans la rainure du profilé. Le PVC est plus souple lorsqu’il fait chaud.
Pour souder les lés, la panne du pistolet à air chaud est glissée sous le recouvrement dans un mouvement régulier et la soudure est immédiatement écrasée à la roulette.
Chaque particularité du bassin, l’escalier notamment, est traitée par soudure de pièces sur mesure. Le recouvrement est étroit. Il faut un bon savoir-faire.
La pose du PVC armé se termine par la soudure du fond et le montage des équipements comme les skimmers ou les projecteurs. L’étanchéité est alors assurée par un double joint vissé.
Une première mise en eau, entre le tiers et la moitié du volume total, achève de tendre le PVC et permet de vérifier l’absence de plis ou de fuites. Les margelles sont posées.
Le local technique est équipé et raccordé. Le parcours de l’eau est fléché pour le repérage des fonctions et des vannes. La piscine est remplie. La pompe est démarrée pour un cycle de filtration continue.
En savoir plus
Les piscines tendance
Au fil du temps, les piscines privées sont passées du statut olympique, avec fosse à plonger, à l’ambiance intimiste et cosy. Par exemple, la tendance est au fond plat, de profondeur moyenne, entre 1,40 et 1,60m de hauteur d’eau, qui ne gêne pas les nageurs, tout en permettant de se tenir debout et d’avoir pied. En largeur, et sauf contrainte spécifique, il est préférable de ne pas descendre en dessous de trois mètres. En longueur en revanche, le choix est libre, avec un minimum de 8 m. Attention, certains équipements augmentent l’encombrement, à l’image du volet automatique qui nécessite une logette supplémentaire.
Pour la forme, le rectangle strict est de retour. Les piscines ovales n’ont plus la cote.
Une piscine en béton
Le terrain sur lequel sont construites la maison et la future piscine est stable, plat, sans rocher ni affouillement. Le choix constructif s’est donc porté sur une piscine traditionnelle, avec un radier plat en béton armé et des parois en blocs béton de 20, chaînés aux angles, sur les longueurs et en ceinture supérieure. L’intérêt est de réduire les coûts de la construction, qui ne nécessite pas de matériau ou d’équipement spécifique, et de réduire les délais ou les aléas de chantier, car ces travaux de gros œuvre sont parfaitement maîtrisés par n’importe quelle entreprise de maçonnerie générale.
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L’étanchéité du bassin est réalisée en PVC armé, préféré au liner classique. Sa durée de vie est plus longue, grâce à une meilleure résistance à l’abrasion et aux produits chimiques. Le mode de pose est différent puisque les différentes pièces, préalablement découpées, sont soudées sur place, à chaud. La technique est plutôt simple mais rien ne remplace le savoir-faire d’un professionnel pour garantir l’absence de fuite.
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Le groupe de filtration est installé dans un local technique à l’abri du gel. Toutes les canalisations de raccordement sont réalisées en tubes PVC rigides collés, à l’exception du trop plein. La qualité de l’eau est assurée par un filtre à sable et un électrolyseur au sel. Dans le cas d’un couloir de nage, la bonde de fond n’est pas indispensable. Il suffit de placer les skimmers et le refoulement en vis-àvis, sur les petits côtés, pour assurer un écrémage correct. Les réservations nécessaires aux équipements (skimmers, refoulement, projecteurs, etc.) sont mises en place pendant le montage des parois.
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