Le galandage permet d’escamoter entièrement la porte coulissante dans l’épaisseur de la cloison, qu’elle soit de distribution ou de doublage. Il faut donc prévoir son installation dès l’origine du projet. Comme toutes les portes, en somme…
Une porte peu encombrante
En effet, l’emplacement de la porte et la mise en place du châssis sont généralement décidés et réalisés avant le montage des cloisons. La technique est la même avec le galandage, particulièrement bien adapté aux montages de plaques de plâtre à ossature métallique.
Le châssis de la porte s’intègre aussi bien dans la structure que dans l’avancement du chantier, en même temps que le montage de l’ossature principale. Comme tous les systèmes coulissants, le galandage offre l’intérêt de ne pas empiéter sur la surface de la pièce et de ne pas imposer de sens d’ouverture.
Le galandage offre l’intérêt de ne pas empiéter sur la surface de la pièce.
Mais une isolation moindre
Les seules réserves de ce type de pose concernent la suppression de l’isolation intérieure, acoustique en particulier, des cloisons de distribution qui en comportent, ainsi que le défaut d’étanchéité à l’air du système en comparaison d’une porte battante standard. Il est également impossible d’intervenir directement sur le mécanisme en cas de blocage.
La pose en vidéo
La pose en six étapes
Les points-clés
Calage provisoire
Tant que la structure du galandage n’est pas solidement fixée, elle est réglée et calée au moyen de traverses horizontales placées dans l’ouverture et d’équerres métalliques disposées dans les angles.