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Pour installer votre clôture et votre portail - Vers z
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Fini de descendre de sa voiture pour ouvrir le portail. Motoriser un portail coulissant n'est pas une affaire compliquée pourvu que l'on soit méthodique et précis. Le moteur est fixe. Il est posé au sol. Il entraîne une crémaillère par l’intermédiaire d’une roue dentée. Le miracle s’accomplit et le portail s’ouvre en douceur.
Un moteur et une crémaillère
Une motorisation peut équiper n’importe quel portail coulissant, en bois, PVC ou alu, à condition qu’il soit en bon état et parfaitement aligné. S’il faut une équipe de rugby pour l’ouvrir ou le fermer, inutile d’espérer résoudre le problème avec un moteur.
Guide d'achat
Si toutes ces motorisations fonctionnent sur le même principe, ce sont les caractéristiques techniques qui guident le choix.
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La première d’entre elles concerne les dimensions, la longueur surtout, et le poids maximum du vantail à faire coulisser. En règle générale, la marge est considérable pour les modèles destinés aux portails résidentiels (4 m, 400 kg par exemple).
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Il faut vérifier le sens d’ouverture, s’il est universel ou déterminé, vers la droite ou la gauche.
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Question sécurité, les motorisations actuelles possèdent un limiteur de force (arrêt en cas d’obstacle), des cellules photoélectriques et un gyrophare.
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À propos du fonctionnement, le portail peut être à fermeture automatique, après temporisation, sans nouvelle impulsion. Il peut aussi être à ouverture partielle pour un passage piéton. La motorisation fonctionne en très basse tension de 12 ou 24 V. Elle peut être associée à un kit solaire qui comprend un capteur et une batterie de stockage.
Attention à la sécurité
Malgré les systèmes d’arrêt automatique sur obstacle, les photocellules ou la conception même du portail, son fonctionnement présente des risques d’écrasement, de pincement ou d’entraînement des mains, en particulier pour les enfants. Il faut toujours garder un œil sur eux lorsque le portail fonctionne, à l’ouverture comme à la fermeture, y compris dans la zone de refoulement, le long de la clôture.
La pose en vidéo
La pose en dix étapes
Le portail doit coulisser parfaitement de niveau. La crémaillère est fixée en bas du vantail, en respectant la hauteur de réservation indiquée par la notice. Elle aussi doit être parfaitement horizontale.
Le moteur se place côté jardin, devant le pilier sur lequel est fixée la platine de guidage du vantail. Ses cotes d’implantation par rapport à l’ouverture sont précises. Il doit être aligné sur l’axe du vantail.
Le moteur ne supporte pas la charge du portail. Il doit quand même être solidement fixé dans le béton. Il s’agit ici de tiges filetées, plantées dans des trous profonds remplis de scellement chimique.
Le socle est enfilé sur les tiges filetées, en appui sur quatre écrous. Le bloc moteur est engagé par-dessus, sur les tiges, en orientant le pignon d’entraînement de la crémaillère vers le portail.
Le réglage de niveau du bloc moteur est effectué selon les prescriptions de la notice, en ajustant l’emboîtement du pignon d’entraînement sur la crémaillère, en serrant ou desserrant les écrous inférieurs.
Les cellules photoélectriques de détection de passage sont fixées à la base des piliers, en vis-à-vis, à 20 cm au moins audessus du sol. Sur certains modèles, il n’y a qu’une cellule, placée sur le pilier qui comporte la butée de fermeture.
Le gyrophare doit être visible de l’extérieur. Il est plus esthétique de prévoir le passage des câbles dans les piliers lors de leur construction. Mais ils peuvent être posés en applique, sous gaine, sur un portail existant.
Le pignon d’entraînement est débrayé avant de procéder aux réglages et aux raccordements. Tous les câbles de liaison électrique, des périphériques et de l’alimentation principale sont reliés aux bornes correspondantes.
Après vérification, le courant électrique est rétabli. Le cas échéant, la programmation est effectuée. Cela concerne les unités de contrôle (badges, télécommande) et, éventuellement les fins de course.
Des butées d’arrêts sont posées aux deux extrémités de la crémaillère, dans les sens d’ouverture et de fermeture. Le fonctionnement du portail est testé après avoir rétabli l’entraînement du pignon.
Le portail doit coulisser parfaitement de niveau. La crémaillère est fixée en bas du vantail, en respectant la hauteur de réservation indiquée par la notice. Elle aussi doit être parfaitement horizontale.
Le moteur se place côté jardin, devant le pilier sur lequel est fixée la platine de guidage du vantail. Ses cotes d’implantation par rapport à l’ouverture sont précises. Il doit être aligné sur l’axe du vantail.
Le moteur ne supporte pas la charge du portail. Il doit quand même être solidement fixé dans le béton. Il s’agit ici de tiges filetées, plantées dans des trous profonds remplis de scellement chimique.
Le socle est enfilé sur les tiges filetées, en appui sur quatre écrous. Le bloc moteur est engagé par-dessus, sur les tiges, en orientant le pignon d’entraînement de la crémaillère vers le portail.
Le réglage de niveau du bloc moteur est effectué selon les prescriptions de la notice, en ajustant l’emboîtement du pignon d’entraînement sur la crémaillère, en serrant ou desserrant les écrous inférieurs.
Les cellules photoélectriques de détection de passage sont fixées à la base des piliers, en vis-à-vis, à 20 cm au moins audessus du sol. Sur certains modèles, il n’y a qu’une cellule, placée sur le pilier qui comporte la butée de fermeture.
Le gyrophare doit être visible de l’extérieur. Il est plus esthétique de prévoir le passage des câbles dans les piliers lors de leur construction. Mais ils peuvent être posés en applique, sous gaine, sur un portail existant.
Le pignon d’entraînement est débrayé avant de procéder aux réglages et aux raccordements. Tous les câbles de liaison électrique, des périphériques et de l’alimentation principale sont reliés aux bornes correspondantes.
Après vérification, le courant électrique est rétabli. Le cas échéant, la programmation est effectuée. Cela concerne les unités de contrôle (badges, télécommande) et, éventuellement les fins de course.
Des butées d’arrêts sont posées aux deux extrémités de la crémaillère, dans les sens d’ouverture et de fermeture. Le fonctionnement du portail est testé après avoir rétabli l’entraînement du pignon.
Les points-clés
1-Avertissement
Le fonctionnement du portail est signalé par un gyrophare visible depuis la rue.
2-Protection
Des cellules photoélectriques stoppent le déplacement du portail en cas d’incident.
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