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Pour créer votre pergola ou un carport - Vers z
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C'est la version moderne de la pergola, puisqu'elle est motorisée. Elle est constituée de lames dont on règle l'orientation pour éviter les rayons brulants du soleil tout en laissant passer la brise. Son installation demande précision et minutie pour installer le système comme il se doit.
Toit réglable
S’il est des équipements indispensables au fonctionnement d’une maison, d’autres reposent exclusivement sur une envie de confort et de se faire plaisir. La piscine fait partie de ces aménagements, la pergola à toit motorisé aussi. La dénomination de bioclimatique attachée à ce type de réalisation est une tentative d’apporter une justification rationnelle, mais elle ne repose sur aucun argument. Le toit réglable sert exclusivement à adapter l’ombre depuis son transat sans avoir à se lever. Et c’est très bien ainsi. Le challenge est relevé haut la main.
Aileron et crémaillère
Le principe de base est celui d’un brise-soleil à lames orientables. La largeur de celles-ci varie d’un fabricant à l’autre, mais elle n’est jamais inférieure à 70 mm. Leurs extrémités sont pourvues de galets d’entraînement montés sur des crémaillères. L’action du moteur provoque le soulèvement ou l’abaissement de l’aileron, de 0°, en toit plat, à 45°, voire presque 90 ° pour une ouverture complète. Le montage est relativement complexe, car il faut tout assembler, puis programmer, régler les fins de course, etc. Il ne faut pas hésiter à comparer les modèles et à se faire expliquer les principales étapes de montage. Comme tout équipement électrique extérieur, la pergola à toit motorisé doit être alimentée par une ligne indépendante, en provenance directe du tableau de répartition principal, protégée par un dispositif différentiel à haute sensibilité. Il existe aussi des brise-soleils à toit orientable mécanique, réglable par l’intermédiaire d’une manivelle de store banne ou de volet roulant. Ou des modèles à lames fixes, réglés en fonction de l’azimut du soleil à la latitude du lieu où on se trouve. Pour renforcer l’occultation en intersaison, en début ou en fin de journée, lorsque le soleil est bas sur l’horizon, il est possible d’installer des écrans latéraux. La pergola à toit motorisé est pleinement efficace en exposition plein Sud.
La pose en vidéo
La pose en dix étapes
Le cadre de toit se compose de deux traverses et de deux longerons assemblés dans les angles par des connecteurs emboîtés puis vissés. L’ensemble est posé sur des tréteaux.
La pergola est adossée à la façade. Deux cornières murales sont fixées selon les prescriptions pour le choix de la hauteur et des éléments de fixation. En cas d’ITE, les fixations doivent la traverser jusque dans la maçonnerie.
Les poteaux sont garnis de leur embase. Le cadre est présenté sur les cornières murales, après l’avoir équipé de ses poteaux. L’ensemble est ajusté, réglé de niveau et serré provisoirement.
Le cadre est équipé de différents éléments, comme les supports de lame, les gouttières intégrées dans les côtés, les closoirs de finition. Ces éléments sont vissés ou simplement emboîtés.
Les lames sont préparées avant leur mise en place. Deux embouts, droit et gauche, sont fixés aux extrémités. Ils sont calés d’un coup de maillet avant d’être vissés, puis serrés finalement à la main.
Les lames sont déposées dans les rainures des supports du cadre de toit. Elles sont réunies par la réglette de manœuvre, fixée par un écrou traversant non bloqué, passé dans le trou extérieur des embouts de lame.
Lorsque toutes les lames sont montées et associées aux deux réglettes de manœuvre latérales, sans omettre les butées, leur rotation est testée manuellement ainsi que leur emboîtement lors de la fermeture.
Le vérin d’entraînement est fixé sur le dessus du cadre de toit, sur un longeron. Il transmet l’impulsion de mouvement à la réglette par une entretoise et une série de boulons et d’écrous freins
Le vérin est relié à une centrale, elle-même reliée à un transformateur, branché sur le secteur. Les boîtiers sont fixés sur la traverse arrière. Une procédure d’auto-apprentissage permet de régler les fins de course.
Toutes les fixations des assemblages fixes sont serrées après avoir vérifié les aplombs, les niveaux et les équerrages. Les poteaux sont ancrés au sol à l’aide de tirefonds et de chevilles à expansion.
Le cadre de toit se compose de deux traverses et de deux longerons assemblés dans les angles par des connecteurs emboîtés puis vissés. L’ensemble est posé sur des tréteaux.
La pergola est adossée à la façade. Deux cornières murales sont fixées selon les prescriptions pour le choix de la hauteur et des éléments de fixation. En cas d’ITE, les fixations doivent la traverser jusque dans la maçonnerie.
Les poteaux sont garnis de leur embase. Le cadre est présenté sur les cornières murales, après l’avoir équipé de ses poteaux. L’ensemble est ajusté, réglé de niveau et serré provisoirement.
Le cadre est équipé de différents éléments, comme les supports de lame, les gouttières intégrées dans les côtés, les closoirs de finition. Ces éléments sont vissés ou simplement emboîtés.
Les lames sont préparées avant leur mise en place. Deux embouts, droit et gauche, sont fixés aux extrémités. Ils sont calés d’un coup de maillet avant d’être vissés, puis serrés finalement à la main.
Les lames sont déposées dans les rainures des supports du cadre de toit. Elles sont réunies par la réglette de manœuvre, fixée par un écrou traversant non bloqué, passé dans le trou extérieur des embouts de lame.
Lorsque toutes les lames sont montées et associées aux deux réglettes de manœuvre latérales, sans omettre les butées, leur rotation est testée manuellement ainsi que leur emboîtement lors de la fermeture.
Le vérin d’entraînement est fixé sur le dessus du cadre de toit, sur un longeron. Il transmet l’impulsion de mouvement à la réglette par une entretoise et une série de boulons et d’écrous freins
Le vérin est relié à une centrale, elle-même reliée à un transformateur, branché sur le secteur. Les boîtiers sont fixés sur la traverse arrière. Une procédure d’auto-apprentissage permet de régler les fins de course.
Toutes les fixations des assemblages fixes sont serrées après avoir vérifié les aplombs, les niveaux et les équerrages. Les poteaux sont ancrés au sol à l’aide de tirefonds et de chevilles à expansion.
Les points-clés
1-Ombre…
Les lames s’opposent au passage du soleil, mais ne contrarient pas le passage de l’air. L’ombre reste fraîche.
2-Et lumière
L’hiver et en intersaison, la pergola laisse passer la lumière jusque dans la maison.
3-Au sec
En position fermée, certains modèles forment un toit complètement étanche.
Autres techniques
La protection solaire de la terrasse
Tous les moyens sont bons pour conserver une terrasse agréable tout au long de l’année. En plus de la pergola sous toutes ses formes, le choix est vaste.
Le parasol est la solution démontable des petites surfaces, balcons ou terrasses de poche. Monté sur un pied lesté, il dispense une ombre localisée à une table de dimensions modestes.
La voile d’ombrage est une déclinaison fixe du parasol. Elle peut être carrée, triangulaire, à côtés égaux ou non. Elle est tendue au moyen de piquets et arrimée à la façade. La zone d’ombrage est plus grande, en choisissant soigneusement l’emplacement. Attention aux régions venteuses.
Le barnum est une version champêtre de la tente de commandement militaire. Il est construit sur une structure métallique légère et offre l’intérêt de protéger de la pluie comme du soleil une surface importante. En version luxe, il possède des rideaux latéraux. Le store banne est le plus répandu. Adossé à la façade, il se déploie à volonté, à la manivelle ou par un moteur électrique. Pour une protection optimale, il ne faut pas hésiter à le choisir le plus grand possible et à prendre le temps de régler son inclinaison. Attention à l’effet de serre sous ces différentes structures. Car le soleil parvient toujours à traverser en partie et s’ajoute au rayonnement induit par la face exposée de la toile. En l’absence de brise, cette chaleur se trouve stockée sous la protection solaire. Le phénomène affecte moins les structures à toit ajouré, qui laissent passer la chaleur par effet de chemin
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